En tant que courtier immobilier titulaire d’un permis délivré par l’OACIQ, je représente exclusivement les acheteurs
Ce choix est volontaire, réfléchi et assumé. Il repose autant sur mon interprétation des règles professionnelles que sur mon expérience sur le terrain.
Il m’arrive toutefois, dans des cas très particuliers, de rédiger un contrat de courtage vente : par exemple, lorsqu’un propriétaire a déjà trouvé son acheteur et qu’il a simplement besoin d’un encadrement technique pour finaliser la transaction. Dans ce contexte — où aucune mise en marché n’est nécessaire —, j’accepte d’intervenir, à condition que tout soit clair, équitable et conforme.
Mais dans la très grande majorité des cas, lorsque des propriétaires me contactent pour vendre, je ne peux pas les représenter.
Je commence toujours par mes acheteurs sous CCA
Avant de référer un vendeur à un autre courtier, je commence par faire ce que je dois faire : je vérifie si l’un de mes clients acheteurs, avec qui j’ai une entente officielle (CCA), pourrait être intéressé par cette propriété. C’est exactement le rôle prévu par le CCA : chercher des opportunités réelles, y compris celles non inscrites sur le marché.
Le fait que je n’inscrive aucune propriété rassure mes acheteurs. Chaque fois qu’un vendeur me contacte, je leur présente la propriété en priorité, s’il y a correspondance. Si l’un d’eux est intéressé, je rédige une promesse d’achat. Et puisque je représente uniquement l’acheteur, le vendeur n’a aucun frais à payer.
Et si aucun acheteur n’est intéressé ?
Une fois cette étape complétée — et uniquement si aucun de mes acheteurs sous CCA n’est intéressé, comme l’exige la Loi — je peux, si le propriétaire le souhaite, le référer à un(e) autre courtier(ère) pour prendre en charge sa mise en marché.
Je ne peux pas le représenter moi-même. Non seulement pour des raisons déontologiques, mais aussi parce que je ne me sens pas à l’aise de donner des conseils opposés, dans une même journée, à deux parties qui ont des intérêts fondamentalement différents.
Un acheteur veut prendre son temps, trouver une propriété bien évaluée, et obtenir les meilleures conditions.
Un vendeur, lui, veut vendre rapidement, au meilleur prix, avec le moins de concessions possible.
Ces deux logiques sont tout simplement incompatibles dans un même accompagnement.
Représenter un acheteur et représenter un vendeur dans la même journée, c’est s’exposer à dire l’inverse d’un côté et de l’autre. Et à moins de ne pas croire soi-même aux conseils qu’on donne, c’est une position inconfortable — voire insoutenable.
Je ne dis pas que c’est impossible.
Je dis simplement que je choisis de ne pas le faire.
Parce que selon moi, un bon accompagnement exige une position claire, sans compromis, et sans conflit d’intérêts.
Et ce n’est pas pour rien que les verbes vendre et acheter ne sont pas synonymes.
Pourquoi je réfère à L'équipe St-Louis
C’est donc dans ce contexte très précis — quand le propriétaire souhaite être accompagné — que je réfère à un(e) courtier(ère) de confiance.
Et parmi les personnes à qui je réfère avec le plus grand sérieux, il y a Mathieu St-Louis et Manithay Mixaychaleun 👉 Voir leur site ➜ www.equipestlouis.com
🔍 Ce que j’ai observé
J’ai eu l’occasion de collaborer avec Mathieu à plusieurs reprises en lui référant des clients vendeurs. Ce qui m’a marqué, ce n’est pas seulement sa connaissance approfondie du marché ou son efficacité — c’est sa capacité à rester rigoureux et aligné sur les règles, peu importe la situation.
Il comprend parfaitement les responsabilités qui viennent avec la représentation d’un vendeur. Il respecte les limites, reste transparent dans son rôle, et surtout, il agit toujours de façon à éviter les conflits d’intérêts, même dans des cas plus complexes.
Ce professionnalisme, je l’ai vu. Et je le reconnais.
C’est rare. Et c’est précieux.
🤝 Une approche humaine, rigoureuse et sans pression
Mathieu ne mise pas sur les artifices. Il fait son travail avec méthode, constance et transparence. Il accompagne ses clients vendeurs avec sérieux, écoute et sans chercher à imposer un rythme qui ne leur conviendrait pas.
C’est exactement ce que je considère comme essentiel quand vient le temps de recommander un(e) courtier(ère) à un vendeur : quelqu’un qui agit avec intégrité et qui comprend la portée d’un mandat de vente.
📜 Une obligation professionnelle encadrée par la Loi
Référer un propriétaire à un autre courtier, ce n’est pas un choix personnel ou une préférence de travail.
C’est une exigence légale.
Depuis 2022, l’OACIQ interdit formellement la double représentation dans une même transaction. Je ne peux donc pas représenter un vendeur si je représente déjà l’acheteur — même si le vendeur m’a contacté en premier.
C’est dans ce respect strict des règles et de la logique déontologique que s’inscrit ma démarche. Et c’est pourquoi je réfère à Mathieu : parce que je sais qu’il fera les choses correctement, du début à la fin.
📞 Et si vous êtes propriétaire ?
Si vous pensez vendre votre propriété, je vous propose une rencontre virtuelle gratuite et confidentielle.
Lors de cette rencontre, je pourrai :
- Comprendre votre projet
- Vérifier si l’un de mes acheteurs sous CCA pourrait être intéressé
- Et si ce n’est pas le cas, vous orienter vers un(e) professionnel(le) de confiance — comme L’équipe St Louis.
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Représentation 100% Acheteurs – Aucune double représentation
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📧 Courriel : [email protected]
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